Cher Magic,
Kameko l’intraitable !
Îe, kekkô desu
Usumurasaki
Usero
Watashi
Il était cela et sans doute lui fallait il encore plus accomplir en cela…
Le geisha le plus demandé , le chantre des vertus offertes !
Est silencieux
Il regarde l’amante gliisser le long du mur et se retirer le visage en larmes silencieuses
Il se redresse face à la fenêtre,
Une nouvelle amante, nouvel échec qu’elle emporte avec elle.
Que pourrait il apporter à l’abandon si ce n’est l’acccepté de son retrait
Puis Il s’allongea et ne se retourna pas, mais il sentait l’odeur de la geiko …fujiko
Il laissa son esprit se souvenir de son long cheminement dans ce temple à la sensualité, il se souvint d'elle ...
Elle lui dit Je suis Fujiko, et mon honneur est de vous divertir par l'art de la musique et du chant.
Vous pourrez m'écouter jouer de divers instruments, tout en buvant votre thé. Voici un coussin pour votre confort, et laissez moi vous charmez de mon art.
Son chant contait cela …
Sur les bords de la rivière de l'Or Blanc, au nord des terres de ce qui fut le clan du Lièvre, se tient une petite bâtisse de bois entouré d'un muret de pierre blanche. Un mon inconnu, deux dragons entrelacés tenant chacun un katana qui se croisent, claque au vent. Aucune porte ne bloque l'accès à un petit jardin, où de jeunes saules bordent un étang où reposent quelques carpes. Une écurie se tient le long du muret, et un chemin de dalles longe le jardin et monte vers la bâtisse.
Sur le seuil, une jeune geisha nommée Fujiko sourit elle vous accueille. Vous retirez vos sandales, deposez votre daisho auprès des autres sur une étagère de bois sculptée, et entrez.
L'intérieur est sobre et agréable. Sur un sol de bois d'acajou recouvert de tapis de paille tissée, des tables basses présentent tasses et soucoupes en porcelaine fine, attendant le bon vouloir de Kameko. Des estampes recouvrent les murs, représentant batailles, romances et paysages. Quelques bâtons d'encens diffusent une odeur délicate, et la belle geisha Fyjiko joue un air envoûtant de biwa.
Kameko, pourquoi n’assembles tu pas ta liberté en l’union unique dis !
Il se retourna et lui dis,
Est-ce que le cerisier s’apprivoise ?
Il délivre ses fruits à la vue de la simplicité
Et se meurt dans un croqué
J’aimerais encore suspendre cette vue aux prémices de son croqué
Fujiko se retira tout en plénitude…
Révèrences
Lolly