Bonjour Rachida,
Je te remercie de ton partage
Je ne connais cet auteur,
et je ne puis comprendre sa phrase isolée, ainsi, certains mots ou phrases sont inhérents à un contact avec la réalité ou sa propre réalité, il y a à mon sens autant de réponses que d'êtres en la vie.
pour ce que je puis expérimenter du doute, je le vis en tant que pause et gestation de réponses ou d'actes.
si la folie prend cet aspect alors à mon sens ce n'est pas du doute mais de l'égarement : processus ponctuel de vide intérieur.
celui qui insulte ou calomnie est pour moi dans l'égarement : synonyme de folie, de mépris de ce qui existe en lui, l'amour tout simplement.
L'erreur est ponctuelle dès lors qu’elle permet de tirer la substance de ce que l'on est.
Quand un enfant se trompe ou fais une bêtise, on s'assied à côté de lui et on lui parle non pas de l'erreur mais de sa capacité à transcender celle -ci et la réparer.
L'artisan plus tard qu'il sera en tant que femme ou homme se souviendra de la création extirpée de l’erreur.
L’erreur ne se fuit pas , elle se confronte en soi et se permute en silence. Au fil du temps le changement s’opère.
Si l’enfant est insulté, méprisé, grondé, il se souviendra uniquement de l’agression et de ses larmes, ni de l’erreur, ni de la réparation.
Il en est de même de l’adulte, toutes ses réponses sont liées à l’enfance, celles qui ont été guéri celles qui l’ont rendu en joie ou non.
Et la réparation qu’il aura réalisée, ou non contiendra autant d’erreurs, que de créations.
Il n y a pas de coupables ou de mauvais choix, il y la confrontation avec ce que l'on est et ce qu'on comprend de soi. De ce seuil intérieur nous pouvons interroger l'essentiel de l'erreur en silence.
En te souhaitant un agréable week end.